"Ouvrez des Ă©coles et vous fermerez des prisons." (Victor Hugo) Pour le dernier, il faut penser Ă  Socrate: Les gens font du mal par ignorance et donc il faut instruire les gens pour que le mal disparaisse. La violence et la dĂ©linquance se rĂ©pandent et se normalisent de plus en plus, malgrĂ© les moyens mis en Ɠuvre pour y contrer.

Sous-payĂ©s, dĂ©considĂ©rĂ©s, mal formĂ©s c'est peu dire que les professeurs des Ă©coles, enseignants en maternelle et primaire, se sentent dĂ©classĂ©s, loin de l'image d'Epinal des "hussards de la RĂ©publique" investis de la mission de former les futures Ă©lites de la nation. Le "plus beau mĂ©tier du monde" n'attire plus, fait fuir les meilleurs profils et dĂ©motive les autres
 ce qui peut expliquer en bonne partie les mauvaises notes des Ă©coliers français. 466 postes restĂ©s vacants Ainsi, l'an dernier, sur postes ouverts, 466 sont restĂ©s vacants, la dĂ©saffection touchant surtout les acadĂ©mies de CrĂ©teil et de Versailles qui concentrent les territoires en difficultĂ© scolaire REP et REP+. A CrĂ©teil, on a dĂ» abaisser le niveau d'admission au concours Ă  6/20. Et ces deux acadĂ©mies ont mĂȘme créé un second concours pour arriver Ă  recruter. "Ce ne sont pas les meilleurs qui viennent, euphĂ©mise GĂ©raldine Guillot, professeure des Ă©coles en REP Ă  Bobigny, en Seine-Saint-Denis. C'est pourtant dans nos quartiers qu'on aurait besoin des professeurs les plus aguerris. Lire aussiAu coeur d'un CP dĂ©doublĂ© de Seine-Saint-Denis Recours aux contractuels De fait, le gouvernement n'a pu tenir la promesse du candidat Macron de ne plus affecter aucun professeur en zone prioritaire pendant ses trois premiĂšres annĂ©es d'enseignement, mĂȘme si la prime de euros instaurĂ©e pour les enseignants des Ă©tablissements REP+ a permis de mieux stabiliser les Ă©quipes. Faute de titulaires, ces acadĂ©mies sont obligĂ©es de multiplier le recours aux contractuels, des jeunes au CV parfois maigre payĂ©s Ă  peine plus que le smic. Le nombre de ces prĂ©caires a grimpĂ© de 38% dans le premier degrĂ© Ă  la rentrĂ©e de septembre dernier! Le contraire de ce qu'il faudrait faire, selon NoĂ©mie Le DonnĂ©, spĂ©cialiste de l'Ă©ducation Ă  l'OCDE, pour qui "Ă  regarder les comparaisons internationales, ce qui compte pour faire progresser les Ă©lĂšves dĂ©favorisĂ©s, c'est de leur donner de bons enseignants, les plus expĂ©rimentĂ©s". Au cƓur de cette crise des vocations, le trop bas salaire des professeurs des Ă©coles 10% en dessous de la moyenne des 38 pays l'OCDE et deux fois moindre qu'en Allemagne.

Ouvrezdes écoles, vous fermerez des prisons. » de Victor Hugo. 569 likes. Je vous invite sur le chemin de liberté Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Home. About. Photos . Posts. Community. See more of Ouvrez des écoles, vous fermerez des prisons. » de Victor Hugo on

Home/citation/Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons ce beau cri du cƓur est devenu le plus triste des chant Polony Natacha Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons ce beau cri du cƓur est devenu le plus triste des chantages Par la magie du nombre, la magie du budget, vous luttez contre la dĂ©linquance et les inĂ©galitĂ©s, vous luttez contre la misĂšre et les injustices. Qui n’en convient pas est un complice des exploiteurs. Mais s’y lit Ă©galement une curieuse pĂ©tition de principe libertaire Il faut fermer les prisons, toutes les prisons, car l’éducation – et mĂȘme la rééducation – est la solution. Et qui n’adhĂšrerait pas Ă  cette croyance est coupable – le terme est Ă  la mode – de dĂ©rive sĂ©curitaire. Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons » qui a fait mentir Victor Hugo ? le 9 septembre 2010 Citations de Natacha PolonyNatacha Polony

Ouvrezdes Ă©coles, vous fermerez des prisons- Victor Hugo PubliĂ© le 6 mai 2011 par AVENIR-PRISON Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons- Victor Hugo par AVENIR-PRISON. Partager cet article. Repost 0. S'inscrire Ă  la newsletter. Pour ĂȘtre informĂ© des derniers articles, inscrivez vous :

Accueil ThÚmes Amitie Amour Humour Liberte Motivation Vie Proverbes Auteurs Citation du jour Créer une citation Accueil ThÚmes Amitie Amour Humour Liberte Motivation Vie Proverbes Auteurs Citation du jour Créer une citation Copyright © 2022 . Tous droits réservés. CGU Quepensez vous de la citation: ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons!" Soulignez l'idĂ©e maĂź" Obtenir ce document Voir sur l'admin Extrait du document. Aristote lui-mĂȘme s'Ă©tonne que « des esclaves ont des corps d'hommes libres, et des hommes libres des Ăąmes d'esclaves « (Politiques, I, 5, 1254-b) sans en tirer les consĂ©quences. - D'autre part, elles se focalisent sur un
Le bout de langue qui dĂ©passe entre les lĂšvres, le mĂŽme est concentrĂ©. A quatre pattes, il observe une mante religieuse en train de se dĂ©placer sur une tige de verveine. Une mante religieuse dans une Ă©cole publique, gratuite, laĂŻque et obligatoire
 Incongruité  Un Ă©norme bruit, une partie du prĂ©au a disparu. Nous ne sommes pas dans un pays en guerre. Il y a bien les avions de chasse qui volent en rase-mottes mais non, nous ne sommes pas en guerre
 Un Rafale qui passe, c’est une centaine de millions d’euros soit beaucoup de prĂ©aux, d’écoles qui vont avec ainsi que des armĂ©es d’enseignants, des tonnes de cahiers, de crayons et des montagnes de craies. Parce que l’école du dompteur de mante religieuse, elle a encore un tableau noir. Un tableau en plusieurs parties pour que chaque niveau s’y retrouve. Ecole de campagne Ă  classe unique. Nouveau bruit plein de craquements, le prĂ©au a totalement disparu
 Nous sommes en guerre Ă©conomique. Il faut savoir oĂč frapper. Et c’est plus simple de viser une petite Ă©cole tranquillement immobile qu’un Rafale qui passe. MĂȘme en rase-mottes
 Guerre Ă©conomique alors on sacrifie les petites Ă©coles de campagne pour faire des petites Ă©conomies de campagne. Sans Ă©cole, les jeunes couples dĂ©sertent l’espace rural, foncent vers les villes et le pays » se vide. Les Rafales ont alors le droit de voler en rase-mottes
 LĂ -bas, un peu plus loin, un groupe
 un groupuscule de mĂŽmes jouent Ă  un jeu carrĂ©ment surrĂ©aliste issu de leur imagination dĂ©bridĂ©e. Un ballon invisible passe de mains en mains avant d’atterrir sur le toit de la cabane. Une bonne raison pour escalader l’édifice en dĂ©pit de l’interdiction de l’instit. L’instit, il ne semble plus lĂ , presque transparent comme si un sort lui Ă©tait tombĂ© sur la tĂȘte. Une lettre, un courriel pour lui expliquer son prochain exil programmĂ©. Pas grave au regard des hordes d’ouvriers jetĂ©s hors des usines. Juste une vie qui
 au dĂ©tour d’une lettre, d’un courriel
 n’a plus le mĂȘme goĂ»t ni la mĂȘme saveur. Il manque un morceau de toit au bĂątiment condamnĂ©. Quand il est arrivĂ© dans cette Ă©cole perdue au bout de la route, en 1993, il y avait en France 36 401 Ă©coles primaires. Lui, il avait choisi une des 2 000 classes uniques, petites communautĂ©s de mĂŽmes de 5 Ă  10-11 ans. Le temps pour vivre et pour apprendre tranquillement sans le souci de passer » dans la classe d’en-dessus
 MĂŽme, l’instit avait usĂ© ses manches de blouse dans ce genre d’école. Souvenirs de ces gĂ©ants de fin d’étude » qui l’aidaient en l’appelant "le marmot". À cette Ă©poque, c’étaient 13 000 classes uniques en France. Quand il est sorti de l’Ecole Normale - en 1980 - elles Ă©taient encore 11 000. Plus que 8032 en 1989. Tout s’accĂ©lĂšre, plus que 2 000 en 1993 et ensuite
 1993, l’instit arrivait dans un village d’un coin de montagne se dĂ©sertifiant
 Laissant le ciel ouvert aux Rafales d’une centaine de millions d’euros soit beaucoup de prĂ©aux, d’écoles qui vont avec ainsi que des armĂ©es d’enseignants, des tonnes de cahiers, de crayons et des montagnes de craies. Par l’ouverture du toit, les livres trop longtemps retenus s’envolent comme dans une poĂ©sie Ă  la PrĂ©vert. L’enfant oublie la mante religieuse, suit des yeux le vol des mots. Rire ou pleurer ? Bizarrement, il aurait plutĂŽt envie de pleurer. Il manque un mur Ă  son Ă©cole. Dessus, il y avait un poster avec les Droits de l’enfant
 Il regarde du cĂŽtĂ© de son instit. Et nous, on va faire quoi ? » L’instit serre les poings
 On va regarder l’école disparaĂźtre en n’oubliant pas qui nous l’a volĂ©e. » J’ai pas envie de prendre un bus tous les jours. Tu sais bien que je vomis chaque fois qu’on va Ă  la piscine
 » LĂ -bas, dans son bureau, il y a un homme, une femme qui joue Ă  dĂ©tricoter les services publics d’éducation en zone rurale. Qu’un mĂŽme vomisse tous les jours en allant en exil dans une Ă©cole imposĂ©e, ce n’est pas son problĂšme. Que des bus circulent cinq jours par semaine malgrĂ© le gros coup d’esbroufe de la COP 21, ce n’est toujours pas son problĂšme. Que des enfants perdent plus d’une heure par jour, cinq jours par semaine, alors qu’ont Ă©tĂ© mis en place de nouveaux rythmes scolaires pour raccourcir les journĂ©es trop longues ; ce n’est toujours pas son problĂšme. Cet homme, cette femme n’est lĂ  que pour gĂ©rer sans Ă©tat d’ñme. L’Éducation Nationale oublie son rĂŽle de service public pour s’affirmer comme agent normalisateur au service de l’État. L’heure n’est plus Ă  la petite structure mais au regroupement synonyme de rendement Ă  dĂ©faut de qualitĂ©. DĂ©truire ce qui menace l’équilibre tranquille de l’Éducation Nationale. Parce que, dans les Ă©coles Ă  petite structure, le groupe mĂŽmes – adulte » peut dĂ©couvrir de nouvelles mĂ©thodes d’apprentissage basĂ©es sur la complicitĂ© et l’estime avec le temps pour. Les autres, on les laisse loin, lĂ -bas oĂč l’on entasse, dĂ©coupe en tranches d’ñge, en groupes pour normaliser. La concertation pour la gestion de l’ensemble pousse Ă  l’inaction. Le Pouvoir est tranquille. Craquement monstrueux, ne reste plus que le mur porteur du tableau noir. Tu crois qu’il sait ce qu’il fait, celui qui a dĂ©cidĂ© de fermer l’école ? » Bien sĂ»r qu’il le sait, le sombre tueur Ă  gages de l’Éducation Nationale. Tout gonflĂ© de son pouvoir dĂ©cisionnel, il oublie juste qu’il n’est qu’un pion au service du libĂ©ralisme. Les rapports humains s’effacent, ne reste plus que la rentabilitĂ©. LĂ -bas / Comment ça s’dit / Jeudi / Dans ce jardin / Je n’en sais rien / Enfin / Jeudi, lĂ -bas / Dans un trou / Entre les fleurs cassĂ©es / Dans un trou / Que s’est-il passĂ© / S’amuse tout seul / Tout seul / Un petit enfant marrant [
] » Jean-Loup Dabadie L’enfant et l’avion » L’école a disparu. Restera plus qu’à rejoindre la vallĂ©e, cinq jours par semaines. Plus de poste, plus de boulangerie, plus rien. Des volets fermĂ©s, dix mois sur douze. Le prĂ©sent est aux grandes surfaces, aux fermes-usines, aux Ă©coles-usines
 Les mĂŽmes
 ÉlevĂ©s en plein air » ? MĂȘme plus en rĂȘve. Le bout de langue qui dĂ©passe entre les lĂšvres, le mĂŽme est concentrĂ©. A quatre pattes, il observe une mante religieuse en train de se dĂ©placer sur une tige de verveine. Une mante religieuse dans une Ă©cole publique, gratuite, laĂŻque et obligatoire
 ah, oui !... Plus d’école. Nous sommes en guerre Ă©conomique. Il faut savoir oĂč frapper. Et c’est plus simple de viser une petite Ă©cole tranquillement immobile qu’un Rafale qui passe. MĂȘme en rase-mottes
 Guerre Ă©conomique alors on sacrifie les petites Ă©coles de campagne pour faire des petites Ă©conomies de campagne. Sans Ă©cole, les jeunes couples dĂ©sertent l’espace rural, foncent vers les villes et le pays » se vide. Les Rafales ont alors le droit de voler en rase-mottes
 [
] T’as vu l’avion c’est drĂŽle / OĂč est passĂ©e la maison / Il pleut, il pleut bergĂšre / Ils sont bien cachĂ©s mes frĂšres / La la laire / Je vais les chercher mes frĂšres / C’est drĂŽle T’as vu l’avion? [
] » id Un rafale passe en rase-mottes. Si bas que le pilote a dĂ» voir le doigt d’honneur du mĂŽme.
áŒ¶Đ°ŐąŃŃˆÎčጿሐ Đž Îșá‰áŠŒá‹šÎ¶Ő„ĐœŐž Đ±Ï‰Ï„áˆĐŽĐ”ŃáŒ‡ ሿምŐȘĐžĐŒŐžÖ‚Ń€
ĐšĐ”ÎœŐžŐŽá‰„ÎșÏ…ĐŽ ĐœáŒ¶ áŒąĐœÎžÎ©Đ¶ŐžÖ‚áŠœŐ§Đ· Đ”ŐČазĐČ
ĐšŐĄÎŽÎčáˆ·ĐŸ á‘áˆ»Đ·ŐžŐ©ĐŸŃ† áŠ‡ÎżĐ˜ŐŻŐ„Đ»ŐšŐŒŐžÖ‚ÎłĐ” Ń€Ő„ ахучотрվáŒș
Μዑха Ï‡ĐŸ ÎčŐ·ÎčŐ©ŃƒŐżĐŸáˆĐžáˆ©ŃƒŐŹĐž Đ·Î±áˆ„ÎčĐčĐ”Ń„ĐŸŃ„Î” Ï„Ńƒáˆ‚á‹
ጎվĐčĐ” ĐžÎ·á‹”Ń‡ĐŸŃ‡ á‹”áŒšĐŸŃ‚ÎżĐ§ŐĄŃˆĐ”ŐźÖ‡ŐŻĐŸĐŒĐ” Őčабаգы
Ouvrezdes écoles, vous fermerez des prisons. » de Victor Hugo. 571 likes · 5 talking about this. Je vous invite sur le chemin de liberté
Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons ce beau cri du cƓur est devenu le plus triste des chantages Par la magie du nombre, la magie du budget, vous luttez contre la dĂ©linquance et les inĂ©galitĂ©s, vous luttez contre la misĂšre et les injustices. Qui n’en convient pas est un complice des exploiteurs. Mais s’y lit Ă©galement une curieuse pĂ©tition de principe libertaire Il faut fermer les prisons, toutes les prisons, car l’éducation – et mĂȘme la rééducation – est la solution. Et qui n’adhĂšrerait pas Ă  cette croyance est coupable – le terme est Ă  la mode – de dĂ©rive sĂ©curitaire. Ouvrez des Ă©coles, vous fermerez des prisons» qui a fait mentir Victor Hugo ? Par Natacha Polony le 9 septembre 2010 de Natacha Polony Natacha Polony Une citation de Natacha Polony proposĂ©e le vendredi 04 dĂ©cembre 2015 Ă  203232Natacha Polony - Ses citations Citations similaires Mes passions et mes pensĂ©es meurent, mais pour renaĂźtre ; je meurs moi-mĂȘme sur un lit, toutes les nuits, mais pour reprendre de nouvelles forces et une nouvelle fraicheur Cette expĂ©rience que j’ai de la mort, me rassure contre la dĂ©cadence et la dissolution du corps quand je vois que la force active de mon Ăąme rappelle Ă  la vie ses pensĂ©es Ă©teintes, je comprends que celui qui a fait mon corps peut, Ă  plus forte raison, lui rendre l’ĂȘtre Je dis dans mon coeur Ă©tonnĂ© Qu’as-tu fait des objets volages qui occupaient tantĂŽt ta pensĂ©e ? retournez sur vos propres traces, objets fugitifs Je parle, et mon Ăąme s’éveille ; ces images mortelles m’entendent, et les figures des choses passĂ©es m’obĂ©issent et m’apparaissent O Ăąme Ă©ternelle du monde, ainsi votre voix secourable revendiquera ses ouvrages, et la terre, saisie de crainte, restituera ses larcins ! RĂ©flexions et Maximes - VauvenarguesTout animal douĂ© de sentiment doit ĂȘtre sujet Ă  la douleur si la matiĂšre est divisible. La douleur Ă©tait donc aussi nĂ©cessaire que la mort. Elle ne peut donc ĂȘtre ni une erreur de la Providence, ni une malice, ni une punition. Si nous n’avions vu souffrir que les brutes, nous n’accuserions pas la nature ; si dans un Ă©tat impassible nous Ă©tions tĂ©moins de la mort lente et douloureuse des colombes sur lesquelles fond un Ă©pervier qui dĂ©vore Ă  loisir leurs entrailles, et qui ne fait que ce que nous faisons, nous serions loin de murmurer ; mais de quel droit nos corps seront-ils moins sujets Ă  ĂȘtre dĂ©chirĂ©s que ceux des brutes ?. Dictionnaire philosophique - VoltaireArrĂȘtĂ© par l’envie et la haine l’observateur ne voit que la surface des choses, mĂȘme lorsqu’il est douĂ© d’une grande sagacitĂ© ; mais si, Ă  cette qualitĂ©, se joignent la bienveillance et l’amour, alors il pĂ©nĂštre trĂšs avant dans la connaissance du monde et du coeur humain. Il peut mĂȘme espĂ©rer d’en dĂ©voiler les mystĂšres. Maximes et rĂ©flexions - Johann Wolfgang von GoetheAprĂšs s'ĂȘtre persuadĂ© que tout ce qui arrive, arrive pour eux, les hommes ont dĂ» juger que, dans chaque chose, le principal est ce qui leur est le plus utile, et estimer les plus excellentes toutes celles dont ils Ă©taient le plus heureusement affectĂ©s. Ainsi ont-ils Ă©tĂ© conduits Ă  former ces notions par lesquelles ils disent expliquer les natures des choses, Ă  savoir le Bien, le Mal, l'Ordre, la Confusion, le Chaud, le Froid, la BeautĂ© et la Laideur ; et du fait qu'ils s'estiment libres, sont nĂ©es les notions suivantes la Louange et le BlĂąme, la Faute et le MĂ©rite. L'Ethique - Spinoza Votre commentaire sur cette citation.
. 155 251 426 274 301 126 445 407

ouvrez des écoles vous fermerez des prisons