Cettecroisière dure 8 jours, en pension complète, pour un prix à partir de 1525 €. Vous pouvez aussi faire des croisières dans ces bateaux sur le Mississippi. Steambot Natchez vous propose plusieurs croisières dont deux à la journée. Durant la "Sunday Jass Brunch Cruise", vous voyagerez pendant 2h à bord d'un bateau à roues à aubes.

Le croisiériste alsacien CroisiEurope salariés, 135­ millions d’euros de chiffre d’affaires confiera cinq nouveaux navires à Neopolia, cluster basé à Saint-Nazaire regroupant 170 PME. En début d’année, le groupe strasbourgeois avait déjà commandé à une dizaine d’entreprises du cluster la construction d’un navire de 90 mètres, le Loire Princesse, actuellement en construction à Saint-Nazaire. Avec ses deux roues à aubes, le bateau effectuera à partir d’avril prochain des croisières d’une semaine sur la Loire, entre Saint-Nazaire et Angers. Des PME telles que Mécasoud coque, Shipelec électricité, Myg Design agencement ou Gestal réseaux s’affairent encore sur ce navire dessiné par le cabinet nantais d’architecture navale Stirling Design International six salariés. Venu ce mercredi 26 novembre à Saint-Nazaire superviser l’avancée du chantier, Patrick Schmitter, directeur général de CroisiEurope, annonce que son groupe construira dans les trois ans cinq autres navires à Saint-Nazaire. Les entreprises de Néopolia sont déjà en train de signer les contrats portant sur la construction d’un deuxième navire de 40 cabines, l’Elbe Princesse, que CroisiEurope exploitera en 2016 sur l’Elbe, entre Berlin et Prague. Ce navire ressemblera au Loire Princesse, mais ne sera pas un sistership. Un deuxième navire sur la Loire ? Les quatre autres navires fluviaux n’ont pas encore fait l’objet de contrats dûment paraphés. Leur dimension et leur destination ne sont pas encore dévoilées par le groupe alsacien. Ils seront peut-être un peu plus gros que les deux premiers », glisse tout juste Patrick Schmitter, qui confie que l’un d’eux pourrait également naviguer en 2016 sur la Loire. À l’origine de cette pluie de commandes, le fort développement de CroisiEurope, qui exploite actuellement une quarantaine de navires de croisière fluviale en France et à l’étranger. On a une croissance de 10 % par an », assure Patrick Schmitter, qui cherche aujourd’hui de nouvelles destinations de croisière. L’an passé, l’entreprise a accueilli passagers, sur le Rhin, le Danube, la Seine, la Gironde ou encore le Mékong. Aujourd’hui, nous accélérons notre développement », explique-t-on chez CroisiEurope, dont 40 % de la clientèle est internationale, notamment du fait de l’implantation de bureaux à Londres et aux Etats-Unis. Si Patrick Schmitter reste discret sur le montant des contrats passés avec les PME de Néopolia, les deux premiers bateaux commandés représentent, selon nos informations, un investissement de l’ordre de dix millions d’euros, pour chaque navire.

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