Jai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir du romarin. Refrain Gentil coqu'licot mesdames Gentil coqu'licot nouveau Gentil coqu'licot mesdames Gentil coqu'licot nouveau. Pour y cueillir du romarin Pour y cueillir du romarin J' n'en avais pas cueilli trois brins. Refrain J' n'en avais pas cueilli trois brins J' n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un
J'ai descendu dans mon jardin x2 Pour y cueillir du romarin. Refrain Gentil coqu'licot, Mesdames, Gentil coqu'licot, nouveau ! Pour y cueillir du romarin x2 J' n'en avais pas cueilli trois brins Qu'un rossignol vint sur ma main Il me dit trois mots en latin Que les homm's ne valent rien Et les garçons encor bien moins ! Des dames, il ne me dit rien Mais des d'moisell' beaucoup de bien. Paroles2Chansons dispose dâun accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Jai descendu dans mon jardin (x2) Pour y cueillir du romarin. (Refrain) Gentil coqu'licot, Mesdames, Gentil coqu'licot, nouveau ! Pour y cueillir du romarin (x2) J' n'en avais pas cueilli
Pour y cueillir du romarin, Gentil coquelicot, mesdames... Je suis revenue une fois encore dans le jardin de la Grande Vigne, en cet aprĂšs-midi de novembre oĂč les premiĂšres gelĂ©es ont bruni fleurs et feuilles. Je reste fidĂšle Ă ce lieu oĂč tout a commencĂ© et tout s'est terminĂ© il a abritĂ© la fleur de notre amour, Ă la fois si flamboyante et si fragile, fleur dont, je le sais dĂ©sormais, la racine est dĂ©finitivement morte. Je ne peux oublier le contenu d'une lettre envoyĂ©e par un ami bien intentionnĂ© Ă qui je ne demandais rien il m'a appris que tu t'Ă©tais mariĂ©. MalgrĂ© le long cortĂšge des annĂ©es, j'avais espĂ©rĂ© que renaĂźtrait le sentiment que tu avais Ă©prouvĂ© pour moi, comme on attend l'Ă©ternel retour du printemps. Mais ce n'Ă©tait qu'une cruelle illusion, de mĂȘme que la lumiĂšre douce et dorĂ©e des aprĂšs-midis me faisait croire que c'Ă©tait encore l'Ă©tĂ©. Semblables Ă un bouquet de roses aux multiples couleurs, les souvenirs ont reparu, transperçant mon cĆur de leurs Ă©pines. Tout a commencĂ© un matin gris de janvier, il y a presque vingt ans de cela. Je m'apprĂȘtais Ă quitter le lycĂ©e entre deux cours ; en franchissant le portail, j'ai entendu des pas derriĂšre moi. Je me suis retournĂ©e et je t'ai vu, toi le beau tĂ©nĂ©breux, solitaire et taciturne, dont le charme en avait sĂ©duit plus d'une. Tu m'as souri et tu m'as demandĂ© si tu pouvais m'accompagner. J'ai Ă©tĂ© surprise que tu m'adresses la parole, car jusque-lĂ tu m'avais superbement ignorĂ©e, mĂȘme si nous Ă©tions dans la mĂȘme classe depuis plusieurs mois. Mue par la curiositĂ©, j'ai acceptĂ© et nous avons descendu en silence l'allĂ©e qui conduit Ă l'entrĂ©e de la propriĂ©tĂ©. La porte s'est ouverte sur le jardin engourdi par le froid ; j'ai eu l'impression de pĂ©nĂ©trer dans un labyrinthe, comme si le paysage pourtant familier recĂ©lait des mystĂšres insoupçonnĂ©s. Quand nous sommes arrivĂ©s en bas de la charmille, avant qu'on se dirige vers le potager, tu m'as tendu en silence un papier oĂč tu avais recopiĂ© une poĂ©sie, transformant le vouvoiement en tutoiement Ma bien- aimĂ©e Tu as cessĂ© de m'aimer, moi qui jusqu'Ă la mort compte sur ton cĆur. Laisse-moi mon erreur pour me laisser la vie. Tu m'as oubliĂ© comme on oublie un rĂȘve, Comme efface le jour ce qu'enfante la nuit. Pour moi, ton Ćil est froid et ton cĆur est fermĂ©. Mais je t'aime. Au moment oĂč j'ai relevĂ© les yeux, j'ai aperçu les perce-neige et j'ai su qu'un sentiment ne demandait qu'Ă Ă©clore. Trop Ă©mue pour te rĂ©pondre, j'ai plongĂ© dans le bleu de tes yeux, Ă la fois portĂ©e et ballottĂ©e par les vagues de ton dĂ©sir. M'arrachant Ă ce tourbillon, j'ai fait quelques pas et je me suis tournĂ©e vers la statue de Saint Yves, pour qu'il m'aide Ă retrouver mon chemin, mais il est restĂ© sourd Ă mes priĂšres. J'ai pris conscience qu'il Ă©tait grand temps de retourner au lycĂ©e et nous avons fermĂ© la porte du jardin, tĂ©moin de notre secret. Puis les jours ont succĂ©dĂ© aux jours, le rythme des saisons a suivi celui de notre amour, ponctuĂ© par de tendres promenades un premier baiser saluĂ© par les jonquilles et des brassĂ©es d'autres dans la ronde du muguet, du myosotis, des ancolies, des pavots, des dahlias... jusqu'Ă ne plus former qu'un seul ĂȘtre. Je nous revois parcourant, main dans la main ou enlacĂ©s, les allĂ©es, moments privilĂ©giĂ©s oĂč tu n'Ă©tais qu'Ă moi, bien loin de ce que j'appelais, sous la morsure de la jalousie, la foule de tes admirateurs et surtout de tes admiratrices. Quand nous traversions le verger ou que nous dĂ©ambulions dans le potager, ton esprit pratique te faisait envisager l'avenir trĂšs concrĂštement avec maison et enfants ; pour ma part, l'instant prĂ©sent me suffisait je ne me sentais pas prĂȘte Ă entrer dans l'Ăąge adulte ni Ă assumer toutes ces responsabilitĂ©s. Et puis le destin s'est rappelĂ© Ă moi je venais d'obtenir mon bac ; nos routes allaient se sĂ©parer puisque tu restais au lycĂ©e. Je ne savais comment aborder le problĂšme, sans te froisser, comme on craint d'abĂźmer les pĂ©tales d'une fleur. Nous nous sommes retrouvĂ©s une derniĂšre fois, au port, la veille du 14 juillet. Main dans la main, nous avons parcouru le quai, en direction de la Maison de la Grande Vigne. Miraculeusement le portail Ă©tait restĂ© ouvert et nous sommes remontĂ©s vers la maison, pour admirer le feu d'artifice, depuis le verger, loin de la foule. Ensuite nous sommes restĂ©s dans les bras l'un de l'autre, Ă©coutant la vie nocturne de la nature qui nous entourait une fois encore de sa bulle protectrice. Il a fallu se sĂ©parer ce soir-lĂ aprĂšs un dernier baiser. Et puis tu as disparu de ma vie comme tu y Ă©tais entrĂ©, brutalement et sans explication, dĂ©vastant sans remords le jardin de mon cĆur. Maintenant que j'ai compris que cet amour ne refleurirait plus, peut-ĂȘtre ce jardin qu'on a surnommĂ© le Paradou redeviendra-t-il, pour moi, l'Eden d'avant le serpent. De mĂȘme que la Rance coule paisiblement en ses mĂ©andres, les intermittences du cĆur feront place Ă un battement rĂ©gulier. Comme un petit coquelicot, mon Ăąme Comme un petit coquelicot.
Paroleschansons enfants: Jeux loisirs enfants: Partenaires . J'ai descendu dans mon jardin: comptines Ă chanter. J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot nouveau J'n'en avais pas cueilli trois brins (bis) Qu'un rossignol vint sur ma main Gentil coquelicot, Mesdames Gentil
"J'ai descendu dans mon jardin..." - Mais pourquoi "j'ai" ? 000305 Aujourdâhui, amis des mots, nous revenons sur une particularitĂ© des verbes ĂȘtre et avoir on nâa jamais fait le tour des curiositĂ©s de ces deux auxiliaires quâon utilise Ă tout bout de phrase. Ce matin, je vais rĂ©pondre Ă la question de Yannick, qui mâĂ©crit "Il y a quelques mois, je nâĂ©tais pas auditeur de RTL et je ne connaissais pas votre excellente Ă©mission ; depuis, je me suis soignĂ© !" Yannick a remarquĂ©, dans ses lectures, une utilisation du verbe avoir qui le surprend, dont il donne quelques exemples "Il a montĂ© en grade", "Si je nâavais pas approfondi, jâaurais passĂ© Ă cotĂ© de certains aspects...". "Ce 'jâaurais passĂ©', mâĂ©tait restĂ© en travers de la gorge, me dit-il. Mais, depuis, je me suis rendu compte que cette utilisation de lâauxiliaire avoir Ă©tait frĂ©quente chez Balzac, notamment. Auriez-vous lâamabilitĂ© de lâexpliquer ?" Câest vrai quâon attendrait le verbe ĂȘtre dans un cas comme ça "Je serais passĂ© Ă cĂŽtĂ©". Mais tenez, je vais aussi en profiter pour rĂ©pondre Ă BĂ©nĂ©dicte, qui me demande, elle, pourquoi, dans la chanson Gentil coquelicot, on dit "Jâai descendu dans mon jardin" et non "Je suis descendu dans mon jardin". "Vous avez proposĂ© rĂ©cemment une chronique sur les auxiliaires ĂȘtre et avoir, mâĂ©crit-elle, et vous nâavez pas parlĂ© de ce cas qui mâa toujours Ă©tonnĂ©e..." Je ne vais pas laisser BĂ©nĂ©dicte sur sa faim. Dâautant que, moi aussi, ça mâĂ©tonnait beaucoup, ce "j'ai descendu", quand jâĂ©tais petite. Jâexplique accrochez-vous un petit peu parce que je vais prononcer des gros mots les verbes, en particulier les verbes de mouvement que nous venons dâĂ©voquer dans ces exemples, comme passer, monter, descendre, peuvent ĂȘtre ou non construits avec un complĂ©ment dâobjet ce complĂ©ment qui rĂ©pond Ă la question "quoi ?", "qui ?", ou "Ă quoi ?" "Ă qui ?". Quand ces verbes de mouvement sont accompagnĂ©s dâun complĂ©ment dâobjet comme dans "jâai montĂ© lâescalier" ; jâai montĂ© quoi ? lâescalier, COD, on emploie lâauxiliaire avoir, obligatoirement idem pour "j'ai descendu lâescalier", ou mĂȘme "le mafioso a descendu qui ? le parrain", ou encore "papa a descendu quoi ? la bouteille de whisky". Tout ça, ce sont des complĂ©ments dâobjet, donc auxiliaire avoir obligatoire. Personne ne dirait "Je suis montĂ© lâescalier", "je suis descendu lâescalier", "Papa est descendu la bouteille". Alors, quand est-ce quâon utilise ĂȘtre ?Quand le verbe nâa pas de complĂ©ment dâobjet on dit aussi quâil est "intransitif", alors que quand il en a un, on dit quâil est "transitif". Dans les textes anciens, explique "la conjugaison avec avoir exprimait lâaction ou le fait accompli", celle avec "ĂȘtre exprimant le rĂ©sultat de lâaction", mais cette nuance est "de moins en moins sentie dans la langue contemporaine". Bref, quand le verbe nâa pas de complĂ©ment dâobjet, la conjugaison avec lâauxiliaire avoir il a passĂ© par ici, jâai descendu dans mon jardin, sans ĂȘtre incorrecte, relĂšve dâun parler un peu surannĂ© â voilĂ pourquoi Yannick le trouve dans Balzac ! â mais ce nâest pas du tout interdit ! On peut imaginer quand mĂȘme que, Ă©tant en voie de disparition, ces formes soient un jour prochain considĂ©rĂ©es comme incorrectes... LâactualitĂ© par la rĂ©daction de RTL dans votre boĂźte mail. GrĂące Ă votre compte RTL abonnez-vous Ă la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualitĂ© au quotidien Sâabonner Ă la Newsletter RTL Info
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jai descendu dans mon jardin ou quelques trĂ©sors de voyages sont posĂ©s ça est lĂ sur un bois flottĂ© rapportĂ© de Corse une rose des sables du village troglodyte de Chenini est installĂ©e dans le soleil couchant, un amour en cage dĂ©tachĂ© de sa plante offre son secret il ne reste plus qu'Ă le dĂ©poser, complĂ©ter, et faire le clichĂ© et peut ĂȘtre l'admirer d'un peu
JâAI DESCENDU DANS MON JARDIN GENTIL COQUELICOT Jâai descendu dans mon jardin bis Pour y cueillir du romarin. Gentil coqâlicot, Mesdames. Gentil coqâlicot nouveau. Pour y cueillir du romarin bis Jânâen avais pas cueilli trois brins Gentil coqâlicot, etc. Jânâen avais pas cueilli trois brins, bis Quâun rossignol vint sur ma main Gentil coqâlicot, etc. Quâun rossignol vint sur ma main, bis Il me dit trois mots en latin Gentil coqâlicot, etc. Il me dit trois mots en latin, bis Que les hommes ne valent rien Gentil coqâlicot, etc. Que les hommes ne valent rien, bis Et les garçons encor bien moins Gentil coqâlicot, etc. Et les garçons encor bien moins, bis Des dames il ne me dit rien Gentil coqâlicot, etc. Des dames il ne me dit rien, bis Mais des dâmoiselles beaucoup de bien Gentil coqâlicot, etc. Voir aussi Gentil_Coquelicot/Partition
Lesparoles de la comptine J'ai descendu dans mon jardin. J'ai descendu dans mon jardin . J'ai descendu dans mon jardin (bis) Pour y cueillir du romarin Gentil coquelicot, Mesdames Gentil coquelicot nouveau J'n'en
Lisez Chapitre 726-728 du roman Son PDG autoritaire mais naĂŻf gratuit en ligne. Abonnez-vous aux derniĂšres mises Ă jour Les quelques mots de Li Qinqin ont rendu Li Hanjiang incapable de dire un seul mot. Il regarda fixement la bouche de Li Qinqin comme si elle Ă©tait remplie de plomb. Vous dites toujours que c'est pour mon bien, ceci pour moi, cela pour moi, mais le faites-vous vraiment pour moi? si tu le fais vraiment pour moi, pourquoi suis-je si malheureux pourquoi je veux toujours fuir papa, tu travailles toujours si dur, mais sais-tu pourquoi je suis si rebelle et que je dois toujours ĂȘtre contre vous? parce que c'est la seule façon pour vous de m'accorder plus d'attention ah " Li Qinqin n'avait jamais dit ces mots sincĂšres Ă Li Hanjiang auparavant, et ses yeux avaient des larmes scintillantes en eux. Pourquoi j'aime Mo Yiang, parce que quand je l'ai rencontrĂ©, j'ai vraiment rencontrĂ© quelqu'un qui me comprend vraiment, vous pensez tous que je suis un mauvais enfant, mais il est le seul Ă croire que je ne suis pas vraiment un mauvais enfant, et c'est lui qui m'a encouragĂ© Ă dessiner des mangas, et sans lui, j'oublierais que je pourrais dessiner, et je serais toujours une personne utile. Le salon Ă©tait si calme que j'avais peur d'entendre une Ă©pingle tomber sur le sol. Li Hanjiang ne pouvait pas non plus s'empĂȘcher de se mouiller les yeux, depuis que son ex-femme est dĂ©cĂ©dĂ©e, il n'avait jamais parlĂ© Ă sa propre fille, c'Ă©tait comme si leurs deux pĂšres et filles avaient un cĆur Ă cĆur, personne ne voulait aborder le sujet. "M. Lai, Qin Qin est une bonne fille, mĂȘme si elle a fait beaucoup de mauvaises choses dans le passĂ©, mais je crois qu'elle est une enfant gentille et sensĂ©e, aprĂšs l'expĂ©rience Ă©trangĂšre, elle a beaucoup grandi et sait ce qu'elle veut, comme elle pĂšre, tu devrais lĂącher prise. Jasmine Tong intervint Ă la hĂąte. Li Hanjiang a baissĂ© la tĂȘte, n'a rien dit et est parti aussitĂŽt. En regardant son dos alors qu'il partait, Lai Qinqin se sentait Ă©galement un peu attristĂ©. Chinchin, tu ferais mieux de rentrer chez toi. Li Qinqin hocha la tĂȘte et regarda Ă nouveau Mo Yiang Si je ne peux pas vous contacter dans les prochains jours, je serai assignĂ© Ă rĂ©sidence par mon pĂšre. Mo Yiang a envoyĂ© Li Qinqin Ă la porte pour rattraper la voiture de Li Hanjiang, et Li Hanjiang a emmenĂ© Li Qinqin avec lui. La premiĂšre chose que j'ai remarquĂ©e, c'est que la voiture Ă©tait garĂ©e sur le bord de la route, mais elle avait l'air si familiĂšre. Jasmine Tong ricana et s'approcha et ouvrit directement la portiĂšre de la voiture, Albert Ou Ă©tait Ă l'intĂ©rieur en train d'Ă©couter de la musique et de jouer Ă des jeux. "Oui, Monsieur le PrĂ©sident, vous ĂȘtes tout Ă fait libre dans la voiture tout seul." Albert Ou lui sourit ironiquement, ayant le sentiment d'avoir Ă©tĂ© surpris en train de faire quelque chose de mal. "En fait, je," "Inutile de vous expliquer, continuez Ă jouer ici" Jasmine Tong "bang" ferma la portiĂšre de la voiture et revint Ă grands pas. Albert Ou est sorti prĂ©cipitamment de la voiture pour se rattraper. Mo Yiang ne put s'empĂȘcher de secouer la tĂȘte alors qu'il regardait ces deux-lĂ aussi, on aurait dit que quelqu'un avait du mal ce soir. En fait, Tong a amenĂ© ses deux fils dans la chambre la nuit. Albert Ou paniqua Ă la vue du cadre. Jasmine, n'allez pas trop loin, d'habitude vous dormez dans la chambre des enfants, que faites-vous en les amenant tous les deux ici aujourd'hui» Jasmine Tong lança un oreiller Ă San San alors qu'elle faisait le lit, "San San, donne l'oreiller Ă papa, papa va dormir dans la chambre d'amis aujourd'hui." Sanzo tint aussitĂŽt l'oreiller comme si on lui avait ordonnĂ© de l'apporter Ă Albert Ou. Albert Ou regarda fixement San San et se dirigea vers Jasmine Tong Je peux vous expliquer, juste votre type de mĂ©thode ne fonctionnera tout simplement pas, cachez-vous jusqu'Ă quand, donc la meilleure façon de rĂ©soudre le problĂšme est d'y faire face. que tous les problĂšmes ne sont pas rĂ©solus? » Plus tard, Jasmine Tong s'est retournĂ©e et a pensĂ© que c'Ă©tait bien comme le disait Albert Ou, mais ce n'Ă©tait pas pour ça qu'elle Ă©tait en colĂšre, mais qu'Albert Ou se cachait et regardait l'Ă©mission sans dire un mot. MĂȘme si vous voulez que Mo Yiang et Li Qinqin sortent et affrontent cela, vous ne pouvez pas ne pas en discuter avec vous-mĂȘme, non? Sept, maman embrasse et change. Xiao Qi s'est immĂ©diatement dirigĂ©e vers Jasmine Tong Ă bras ouverts, Jasmine Tong ne voulait pas prĂȘter attention Ă l'intention d'Albert Ou, et a directement aidĂ© Xiao Qi Ă se changer en pyjama, Xiao Qi Ă©tait Ă©galement trĂšs excitĂ©e d'entrer dans la couette avec un sourire fort. Sanzo a vu la situation et a pris l'oreiller d'Albert Ou et l'a jetĂ© par la porte, puis a couru en arriĂšre avec ses fesses en l'air. Jasmine Tong a de nouveau changĂ© le pyjama de San San et les frĂšres se sont rassemblĂ©s. Veuillez fermer la porte en sortant» Jasmine Tong se mit Ă©galement sous les couvertures. Vas-tu vraiment faire ça dĂ©sespĂ©rĂ©ment?» Albert Ou aurait voulu se faufiler dans le lit, mĂȘme si le lit Ă©tait assez grand pour deux personnes, mais il n'y avait vraiment pas de place pour poser les pieds lorsque deux petits enfants se disputaient. C'est juste un jour aujourd'hui» Albert Ou dut sortir d'une maniĂšre grisĂątre, fermant la porte pour la mĂšre et le fils en chemin avant de ramasser son oreiller par terre et de se diriger vers la chambre d'amis. D'un autre cĂŽtĂ©, Li Qinqin a suivi Li Hanjiang dans la famille Li, mais jusqu'Ă toute la nuit de retour Ă la maison, Li Hanjiang n'a pas dit un mot Ă Li Qinqin, ce qui a rendu Li Qinqin Ă©galement trĂšs nerveuse, elle s'est mĂȘme demandĂ© si ce qu'elle a dit Ă©tait trop. Ce n'est pas facile pour Li Hanjiang de travailler dur dans le centre commercial toutes ces annĂ©es, mais tout cela pour le bien de sa famille, et ses paroles lui nient tout. AprĂšs le dĂźner, Lai Han Jiang est allĂ©e dans la chambre et n'en est pas ressortie. Li Qinqin a racontĂ© Ă Wen Lan tout ce qui s'Ă©tait passĂ© aujourd'hui. Tante Blue, j'ai peut-ĂȘtre vraiment Ă©nervĂ© mon pĂšre, alors pourquoi ne m'aidez-vous pas Ă le dĂ©nigrer?» Wen Lan tira la main de Lai Qinqin et la tapota doucement. Qin Qin, tu as raison, ton pĂšre ira bien, c'est un si grand homme, il a vĂ©cu la majeure partie de sa vie, s'il ne peut mĂȘme pas comprendre cela, alors il vit en vain, laisse-le d'abord se calmer. " Cette nuit n'a pas Ă©tĂ© une bonne nuit pour tout le monde, Li Qinqin a dormi dans son propre lit en se retournant et se retournant incapable de dormir, le lendemain s'est rĂ©veillĂ© pour trouver la maison et les deux habituels, Li Hanjiang est sorti tĂŽt pour l'entreprise, Wen Lan Ă la hĂąte a exhortĂ© Li Junjie Ă aller Ă l'Ă©cole. AprĂšs avoir renvoyĂ© John Lai, Wen Lan est retournĂ© Ă table avant de saluer Li Qinqin pour le petit dĂ©jeuner. Mais Li Qinqin n'a pas d'appĂ©tit, Wen Lan s'est soudainement souvenu de quelque chose comme un voyage avant de revenir, et a mis le tĂ©lĂ©phone de Li Qinqin sur la table. Li Qinqin a regardĂ© son tĂ©lĂ©phone avec perplexitĂ© Ă Wenlan. "Ton pĂšre va bien, ne t'inquiĂšte pas, tu peux reprendre ce tĂ©lĂ©phone et l'utiliser." Quelle est son attitude envers mon pĂšre?» Un doux sourire apparut au coin des lĂšvres de Warm Blue. Ton pĂšre Ă©tait debout presque toute la nuit derniĂšre, il a dit qu'il avait rĂ©flĂ©chi Ă ce que tu avais dit et demandĂ© si j'Ă©tais allĂ© trop loin moi-mĂȘme, il a dit qu'Ă la rĂ©flexion, il ne devrait vraiment pas s'opposer Ă ce que tu rencontres Je ne voulais probablement pas que tu le quittes. Ah,» Li Qinqin n'en croyait pas ses oreilles. Il a lui-mĂȘme dit aussi que vingt ans, ce nâest pas jeune, et quand on a fini ses Ă©tudes, la stabilitĂ© au travail est aussi vingt-trois ou vingt-quatre, alors qui sait sâil y en a une bonne, puis tomber amoureux pendant quelques annĂ©es , dâici lĂ , il sera trop tard pour se marier et avoir des enfants. Chapitre 727 Les paroles de Wen Lan Ă©taient trĂšs douces, et elle Ă©tait Ă l'origine une femme incroyablement douce aussi. Mot par mot, cela a parlĂ© au cĆur de Li Qinqin, la faisant pleurer. En fait, votre pĂšre est une personne qui ressemble Ă un grand vieil homme, qui ne sait que gagner de l'argent, mais en fait il est aussi trĂšs Ă©mu, il a lui-mĂȘme dit qu'il n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas contre vous et Mo Yiang, mais contre le fait que vous sortiez ensemble et que vous vous mariiez pour le quitter, la pensĂ©e de sa fille qu'il a Ă©levĂ©e pendant tant d'annĂ©es pour le quitter, ce n'est pas bon pour son cĆur. Li Qinqin se sentait Ă©galement mal Ă ce sujet la bouche ouverte. Qinqin, votre pĂšre n'est plus opposĂ© Ă ce que vous et Mo Yiang sortiez maintenant, mais il a dit qu'il voulait que vous finissiez vos Ă©tudes en Angleterre et que vous reveniez pour vous marier, de prĂ©fĂ©rence plus tard, il veut vous garder encore deux ans. " Pourquoi mon pĂšre est-il si sentimental? Regardez-le, il est si grand et fort, et ses paroles sont si dĂ©chirantes. Li Qinqin a fait la moue et a dessinĂ© un mouchoir pour essuyer ses larmes. Tante Blue, tu dis Ă mon pĂšre que j'Ă©tudierai dur en Angleterre, et je ne laisserai pas les frĂ©quentations m'empĂȘcher d'Ă©tudier, et pour ce qui est de me marier, j'aimerais jouer encore deux ans, et mĂȘme si je me marie Je reviendrai te voir souvent. Wenlan hocha la tĂȘte avec reconnaissance. AprĂšs quelques jours, les vacances de Li Qinqin Ă©taient terminĂ©es, alors Li Hanjiang, Wen Lan et Mo Yiang se sont rĂ©unis pour la voir partir. Au cours de ces quelques jours, les relations entre Li Hanjiang et Li Qinqin se sont Ă©galement beaucoup facilitĂ©es, afin de ne pas laisser son pĂšre devenir jaloux, Li Qinqin n'a pas accordĂ© beaucoup d'attention Ă Mo Yiang. Ce n'est que lorsque Mo Yiang et Li Qinqin sont restĂ©s que Li Qinqin a parlĂ© Ă Mo Yiang. Li Qinqin directement dans Mo Yiang, "Tellement triste de te quitter ah, je t'ai juste ignorĂ©, tu n'es pas en colĂšre contre moi." Mo Yiang, cependant, s'en fichait du tout. Je l'ai fait exprĂšs, j'avais peur que mon pĂšre soit jaloux, je ne pensais vraiment pas que mon pĂšre serait jaloux de sa fille Ă son Ăąge. Mo Yiang a caressĂ© les cheveux longs de Li Qinqin Vous devez apprendre Ă prendre soin de vous quand vous allez lĂ -bas. Ne t'inquiĂšte pas pour ça, j'ai eu une belle vie avant, eh bien c'est principalement toi. Li Qinqin a tendu le doigt pour piquer la poitrine de Mo Yiang, "N'oubliez pas de me promettre que vous ne pouvez pas ĂȘtre si proche d'une actrice, surtout ne commencez pas un scandale, votre futur beau-pĂšre vous regarde toujours." Le sourire de Mo Yiang Ă©tait plein de gĂąterie Je sais, je l'ai dit cent fois, allons-y, ne manquez pas votre vol, faites-moi savoir quand vous y serez, je rejoindrai l'Ă©quipage aujourd'hui, si je ne vous rĂ©pondez pas, ne pensez pas de bĂȘtises. Les deux hommes ont dit au revoir Ă contrecĆur et Li Qinqin a pris un avion pour l'Angleterre. Mo Yiang est sorti de l'aĂ©roport juste Ă temps pour voir l'avion dĂ©coller, et il l'a pris en photo en passant. J'aurais aimĂ© que vous reveniez au lieu de vous envoler.» Dans ce tweet, il a d'ailleurs Ă©galement postĂ© une photo de lui-mĂȘme et de Li Qinqin, avant que les nouvelles ne fassent encore et que les voix Ă l'extĂ©rieur montent et diminuent. Il n'a pas rĂ©pondu, alors rendons cela officiel cette fois. Pour dire deux choses ici, premiĂšrement, je suis tombĂ© amoureux de Chinchin, et deuxiĂšmement, je crois que les mĂ©chants indignes de confiance et prĂ©somptueux recevront leurs dĂ©serts. Je ne veux pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©, merci de votre comprĂ©hension. Cette explication du tweet de Mo Yiang a Ă©clairci toutes les nouvelles Ă la fois, et a vraiment donnĂ© une gifle aux mĂ©dias qui ont annoncĂ© la nouvelle. Surtout la phrase Je crois que les mĂ©chants indignes de confiance et prĂ©somptueux obtiendront ce qu'ils mĂ©ritent.» N'est-ce pas une indication claire que quelque chose se passe ici? Le micro-blogging a naturellement fait grand bruit aprĂšs son envoi, mais Mo Yiang n'a vraiment rien rĂ©pondu, et quelques heures plus tard, il est entrĂ© dans le tournage du film Operation Raid» pour tourner. Les choses sont fondamentalement rĂ©solues, mais quelqu'un dans le Crystal Garden a vraiment du mal, et Albert Ou a Ă©tĂ© expulsĂ© pendant trois jours par Jasmine Tong. Albert Ou n'a toujours pas l'intention d'ĂȘtre rappelĂ© par Jasmine Tong, mais ses deux fils sont trĂšs heureux ces jours-ci, qui ne veut pas coucher avec sa maman, surtout San San, qui doit se rendre tous les jours dans la chambre d'hĂŽtes pour se montrer direction Albert Ou. Bonne nuit, papa, on va coucher avec maman.» "F * ck off." Cette conversation est devenue une partie rĂ©guliĂšre de la routine nocturne. Demain, Jasmine Tong fera son entrĂ©e dans l'Ă©quipe, Albert Ou lui avait promis de lui permettre de faire un film par an, et je ne sais pas quand elle reviendra. Albert Ou est aussi piquĂ©, ces trois jours sauf le premier jour fait une scĂšne, mais aussi pensĂ© Ă laisser Jasmine Tong s'inviter Ă nouveau. rĂ©sultat Mais c'est la derniĂšre nuit oĂč Jasmine Tong est Ă la maison. Albert Ou s'est retournĂ© et s'est retournĂ© et n'a pas pu dormir, alors il est sorti du lit et est retournĂ© dans sa chambre, "Homme" DĂšs qu'il a ouvert la porte de la chambre, une odeur de roses lui est venue au nez, et une bougie rouge en forme de cĆur a Ă©tĂ© allumĂ©e Ă l'endroit oĂč il est entrĂ©, et dans la faible lueur du feu, Albert Ou a vu Jasmine Tong assise sur. le lit, avec des pĂ©tales de rose partout dans le lit stimulant ses nerfs visuels. "Quelle heure est-il? Revenez, soufflez les bougies et allez vous coucher. Jasmine Tong n'avait rien de bon Ă dire et s'est simplement allongĂ©e et s'est mise sous les couvertures. Albert Ou a regardĂ© de plus prĂšs les bougies, certaines d'entre elles Ă©taient dĂ©jĂ Ă moitiĂ© brĂ»lĂ©es, montrant que Jasmine Tong l'attendait depuis longtemps. Il Ă©tait vraiment repentant de savoir qu'il Ă©tait revenu tous les soirs pour faire une scĂšne et sauver les heures qu'il avait gaspillĂ©es. Albert Ou s'est rapidement accroupi sur le sol et a soufflĂ© toutes les bougies, puis Ă une vitesse fulgurante il a enlevĂ© son pyjama et s'est mis sous les couvertures. Pourquoi ne m'as-tu pas appelĂ©?» "Non, je ne vous dis pas de ne pas revenir si vous le pouvez" Jasmine Tong prit le visage d'Albert Ou en coupe, "Je pars demain, je vais vous manquer" Tu ne me manques pas,» Albert Ou enfouit sa tĂȘte dans le cou de Jasmine Tong, tu ne vas me manquer qu'Ă mort, Jasmine, tu n'es pas encore partie, tu me manques dĂ©jĂ , que faire» Alors rĂ©flĂ©chis-y.» Jasmine Tong serra fortement Albert Ou dans ses bras, d'une maniĂšre ou d'une autre, plus ils passaient de temps ensemble, plus c'Ă©tait douloureux d'ĂȘtre sĂ©parĂ©s. Albert Ou a commencĂ© Ă retirer le pyjama du corps de Jasmine Tong et Ă attaquer un peu la ville. Une seule demande, pas de fraises sur moi.» Plantez-le lĂ oĂč personne d'autre ne peut le voir, plantez-le lĂ oĂč vous pouvez le voir lorsque vous regardez en bas, et laissez-vous penser Ă moi tous les jours.» Les mots d'Albert Ou soufflĂšrent doucement dans les oreilles de Jasmine Tong, provoquant le corps entier de Jasmine Tong Ă se crisper les os. AprĂšs cette nuit de chaleur Ă la prochaine fois que nous nous voyons, on ne sait pas quand ce sera. Aucun d'eux ne parla Ă nouveau, chantant lentement, sentant les battements de cĆur et la respiration de l'autre. J'ai entendu un grincement et la porte du placard semblait s'ouvrir. Maman, je veux aussi des fraises.» Ah», deux personnes deviennent folles. Chapitre 728 Jasmine Tong a profitĂ© Ă la hĂąte du fait que les lumiĂšres n'avaient pas Ă©tĂ© allumĂ©es pour s'habiller en panique, et naturellement, Albert Ou aussi. Quand ils furent tous les deux habillĂ©s, Albert Ou alluma la lampe de chevet. San San rampa dans son lit avec une moue, "OĂč sont les fraises?" Sansan, tu ne dors pas dĂ©jà » Jasmine Tong avait tellement peur que cela se produise qu'elle Ă©tait trĂšs sĂ»re que ses deux fils dormaient avant d'oser revenir. Le petit morveux a quand mĂȘme fini par percer le trou. "Je vous ai menti, hee hee." Albert Ou est descendu du lit et a ouvert le placard. Vous vous ĂȘtes cachĂ© ici. San San hocha malicieusement la tĂȘte. Donc tu t'es cachĂ© dans le placard Ă chaque fois que tu viens, pas Ă©tonnant que tu n'as pas Ă©tĂ© retrouvé» Jasmine Tong fit un geste pour tordre les oreilles de San San, mais Ă la fin c'Ă©tait un peu trop dur de le faire. "Maman, je veux toujours coucher avec toi, on ne veut pas que papa ok" dit San San en jetant l'oreiller d'Albert Ou sous le lit Ce petit gars semble Ă©galement savoir que papa et maman se sont battus ces derniers temps, et il est juste Ă temps pour profiter de l'occasion pour dominer sa propre maman et ĂȘtre plus effrontĂ©. Petit morveux», Albert Ou ramassa sa chemise et porta le petit bonhomme droit en l'air. San San a dansĂ© dents et griffes vers Jasmine Tong, "Maman, aide-moi." Jasmine Tong Ă ce moment-lĂ mais secoua la tĂȘte "Maman ne peut pas te sauver, un enfant qui ne dort pas bien la nuit, maman n'aime pas ça, va bien dormir." Albert Ou a ramenĂ© San San jusqu'Ă la chambre des enfants, rĂ©veillant presque Seven, et ce n'est qu'aprĂšs trois ordres que ce retour dans la chambre. Mais les deux hommes Ă©taient dans un dĂ©sarroi total et semblaient avoir une image mentale. "Je pensais que je venais d'entendre quelque chose dans le placard." J'ai ouvert le placard pour constater qu'il n'y avait pas de Sansan Ă l'intĂ©rieur. Sera-ce sous le lit cette fois?» C'Ă©tait vide sous le lit. Toutes les armoires de la piĂšce, sauf une, oĂč un petit enfant pouvait ĂȘtre cachĂ© ont Ă©tĂ© ouvertes et fouillĂ©es par les deux hommes. Jusqu'Ă leur retour au lit, deux personnes ne pouvaient s'empĂȘcher de se dĂ©sintĂ©resser et Ă©taient encore trĂšs fatiguĂ©es. ChĂ©rie, il est tard, allons au lit. "Fils de pute, voyons ce que je vais lui faire demain." Albert Ou s'est Ă©galement retournĂ© d'une maniĂšre radicale. Jasmine Tong savait que dĂšs son dĂ©part, Albert Ou et ses deux fils devaient ĂȘtre secouĂ©s, surtout San San, mais c'est bien, elle ne peut pas voir sans elle, laissez-lui lui donner une leçon, il est en effet temps pour San San doit recevoir une leçon. La nuit devrait se terminer sur une si triste note. Le lendemain matin, alors que le rĂ©veil Ă©tait rĂ©glĂ©, Jasmine Tong s'est rĂ©veillĂ©e dĂšs qu'il s'est dĂ©clenchĂ© et allait entrer dans le plateau aujourd'hui, quittant probablement la maison pendant longtemps. Pendant que Jasmine Tong se brossait les dents dans la salle de bain, Albert Ou entra dans la salle de bain avec un visage sombre et serra Jasmine Tong par derriĂšre, le visage de la luxure donnant Ă Jasmine Tong un air trĂšs drĂŽle. Jasmine, combien de temps vas-tu ĂȘtre partie cette fois.» C'est difficile Ă dire» Jasmine Tong cracha la mousse dans sa bouche et se gargarisa, J'essaierai de rentrer tĂŽt.» Tu commence dĂ©jĂ Ă me manquer.» Albert Ou Ă©tait collĂ© au corps de Jasmine Tong comme une enfant, respirant avidement son odeur. "Je vous dis Ă l'avance, cependant, que celui-ci est militaire, le processus sera plus difficile, et j'ai peut-ĂȘtre moins de temps sur les appels vidĂ©o avec vous, alors soyez prĂȘt pour cela." Il vaut mieux ne pas se mettre en colĂšre le moment venu. Albert Ou ne dit rien, mais ses mains s'inquiĂštent dĂ©jĂ . Jasmine Tong a levĂ© les yeux au ciel vers Albert Ou dans le miroir, Pourquoi ne pas passer la main». ArrĂȘtez-vous pendant un moment» Les k! S torrides d'Albert Ou avec un souffle chaud attaquĂšrent le cou de Jasmine Tong, qui Ă©tait son endroit le plus sensible. Jasmine Tong poussa la tĂȘte d'Albert Ou, "ArrĂȘte, tu seras en retard plus tard." C'est normal d'avoir trois ou cinq minutes de retard.» "Ătes-vous quelqu'un qui peut rĂ©gler un combat en trois Ă cinq minutes?" Il semble que je ne suis pas moins redoutable dans l'esprit de ma femme. Est-ce le but?» La porte de la salle de bain Ă©tait verrouillĂ©e et Tong Ă©tait toujours descendu dans la salle de bain, mais seulement parce qu'un enfant a couru et a frappĂ© Ă la porte comme un fou, ce qui a amenĂ© quelqu'un Ă rĂ©gler le combat en trois Ă cinq minutes! Le cĆur de Jasmine Tong Ă©tait brisĂ©, alors elle ferait mieux de ne pas le faire, et maintenant l'ombre d'Albert Ou Ă©tait encore plus lourde. EmballĂ© et sorti, San San regarda Jasmine Tong avec un mauvais sourire. Maman, est-ce que vous vous ĂȘtes encore faufilĂ© des fraises dans la salle de bain.» Jasmine Tong a touchĂ© la tĂȘte de San San, "Mon fils, on dirait que tu es destinĂ© Ă ĂȘtre battu, maman va tourner un film, je ne peux pas t'aider, tu te souviens de protĂ©ger ta tĂȘte." Ah» San San ne comprend toujours pas de quoi parle Jasmine Tong. Albert Ou avait Ă©tĂ© celui qui n'avait pas dit un mot de colĂšre, et c'Ă©tait le moment le plus effrayant pour lui. AprĂšs avoir renvoyĂ© Jasmine Tong, Albert Ou est retournĂ© dans le salon, et San San savait aussi que sans Jasmine Tong, elle n'aurait pas d'abri et s'est Ă©chappĂ©e en un Ă©clair, se rĂ©fugiant dans la chambre de Meng Rujiao. Albert Ou l'a ignorĂ© et a criĂ© le majordome, Wu Xiu. Je vous ai demandĂ© de trouver un jardin d'enfants pour le jeune maĂźtre, l'avez-vous dĂ©jĂ trouvĂ©? Plus vous vieillissez, plus vous ĂȘtes vraiment inutile et vous ne pouvez pas faire une telle chose. Wu Xiu Ă©tait lui aussi lĂ©sĂ©, il provoquait qui qu'il plaisantait, pas besoin de demander pour savoir que ce devait ĂȘtre le jeune maĂźtre qui avait Ă maintes reprises dĂ©nigrĂ© la bonne fortune d'Albert Ou. J'ai regardĂ©, juste,» Ce qui est si bien, c'est que nous pouvons simplement trouver une Ă©cole qui le fera. Il nâexiste pas de lenteur. » Albert Ou ne veut vraiment pas voir son fils un jour. Wu Xiu a rapidement aidĂ© San San Ă choisir une Ă©cole et est entrĂ© au jardin d'enfants en tant que stagiaire. Albert Ou pensait qu'il se sentirait mieux aprĂšs que SanSan soit allĂ© Ă la maternelle, mais il n'a jamais imaginĂ© qu'il aurait plus de choses Ă faire chaque jour depuis que SanSan est allĂ© Ă la maternelle, c'est-Ă -dire pour essuyer le cul de son propre fils. La premiĂšre fois que San San est allĂ©e Ă la maternelle, elle a pleurĂ© Ă sept enseignants de la maternelle, et la directrice elle-mĂȘme est venue Ă sa porte en pleurant et en exprimant son espoir que San San choisirait une autre Ă©cole maternelle, ou qu'elle se pendrait Ă la maison d'Ou. Pour cette raison, Albert Ou a frappĂ© San San pour la premiĂšre fois, avant que ce ne soit juste une frayeur, mais cette fois c'Ă©tait un vrai coup, fessant les petites fesses de San San toutes rouges et enflĂ©es. Albert Ou pensait qu'il ferait plus attention, alors il l'a envoyĂ© dans un autre jardin d'enfants, mais en une semaine, tous les enseignants de la maternelle sont venus se plaindre du crime de San-San. San-San a naturellement Ă©tĂ© battu Ă nouveau. En un mois, cinq jardins d'enfants ont Ă©tĂ© changĂ©s. Tous les professeurs de maternelle disent que San-San est un vrai con. Finalement, Albert Ou l'envoya dans une Ă©cole maternelle internationale connue pour sa rigueur et sa gestion de style militaire. Avant de partir pour la maternelle, Albert Ou a sĂ©vĂšrement averti San San que s'il Ă©tait renvoyĂ© de la maternelle cette fois-ci, il serait expulsĂ© directement de la maison, et cette fois, San San Ă©tait tout Ă fait honnĂȘte, au moins on ne lui a pas ordonnĂ© de Pars. Quand Albert Ou raconte cela dans la vidĂ©o avec Jasmine Tong, Jasmine Tong meurt littĂ©ralement de rire. Abonnez-vous aux derniĂšres mises Ă jour
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j ai descendu dans mon jardin paroles